Les sujets sur lesquels tout le monde est d'accord ne génèrent pas de discussion.
Ce constat est l'un des socles de la communication sur les réseaux sociaux.
Sans désaccord - ou encore mieux, sans polémique - pas de buzz.
Sans buzz, pas de trafic, qu'il soit mesuré en nombre de clics, de vues ou de followers. Et sans trafic, pas de rentrées publicitaires !
Le dissensus (par opposition au consensus) est donc fondamental sur les réseaux. Rien de tel qu'un tweet incendiaire pour déchaîner les réactions, ou qu'une vidéo osée pour multiplier les partages.
Donald Trump l'a bien compris, qui utilise à merveille Twitter pour bâtir une communication politique originale et dicter le tempo médiatique sans passer sous les fourches caudines de la médiasphère classique.
La propagande djihadiste est quant à elle passée maître dans l'art d'utiliser les réseaux sociaux, "dark net" compris.
Les réseaux sociaux eux-mêmes y trouvent leur compte, dont l'usage se propage à une vitesse propre à ringardiser la multiplication des pains relatée dans les évangiles.
Choquant ? Pas plus, dans le principe, que ne l'était en son temps la présence systématique d'une femme aux seins dénudés à la "une" du Sun. Cette pratique faisait polémique et remplissait d'autant mieux le tiroir-caisse du quotidien populaire britannique.
Autres temps, autres mœurs...
Ce constat est l'un des socles de la communication sur les réseaux sociaux.
Sans désaccord - ou encore mieux, sans polémique - pas de buzz.
Sans buzz, pas de trafic, qu'il soit mesuré en nombre de clics, de vues ou de followers. Et sans trafic, pas de rentrées publicitaires !
Le dissensus (par opposition au consensus) est donc fondamental sur les réseaux. Rien de tel qu'un tweet incendiaire pour déchaîner les réactions, ou qu'une vidéo osée pour multiplier les partages.
Donald Trump l'a bien compris, qui utilise à merveille Twitter pour bâtir une communication politique originale et dicter le tempo médiatique sans passer sous les fourches caudines de la médiasphère classique.
La propagande djihadiste est quant à elle passée maître dans l'art d'utiliser les réseaux sociaux, "dark net" compris.
Les réseaux sociaux eux-mêmes y trouvent leur compte, dont l'usage se propage à une vitesse propre à ringardiser la multiplication des pains relatée dans les évangiles.
Choquant ? Pas plus, dans le principe, que ne l'était en son temps la présence systématique d'une femme aux seins dénudés à la "une" du Sun. Cette pratique faisait polémique et remplissait d'autant mieux le tiroir-caisse du quotidien populaire britannique.
Autres temps, autres mœurs...